Catégories : Enema Lavement / Médical
il y a 3 ans
Cela m’est arrivé de façon tout à fait inattendue ! Un collègue de travail a eu un important accident cardiaque. Rien ne le laissait prévoir. J’ai eu peur. Pour lui et aussi pour moi. Car enfin, même si je n’ai que ( ! ) 40 ans, si je suis assez sportif, jamais malade et plutôt "beau gosse", rien ne permet de croire que je suis invulnérable à l’infarctus.
J’ai donc décidé de prendre rendez-vous chez un spécialiste pour un check-up. Qui choisir ? J’ouvre le bottin et trouve une longue liste de toubibs. Je prends le premier : docteur Abart Dominique. Je téléphone et une secrétaire me fixe un rendez-vous au cabinet du docteur, pour le mardi suivant à 9 h 30.
Le mardi, je suis à l’heure. Je m’installe dans une petite salle d’attente. L’atmosphère me semble "féminine". Peut-être parce que l’air est légèrement parfumé. Une porte s’ouvre et une jolie apparition me prie d’entrer. Ce que je fais, non sans fixer avec intérêt les jolis yeux de ladite apparition. Le cabinet du docteur est luxueux et sympa. Un bureau en noyer. Des sièges profonds, un divan, une table médicale qui ne me paraît pas austère. Deux ou trois miroirs et des tableaux garnissent les murs. Il fait un peu trop chaud à mon goût.
L’Apparition s’installe en face de moi. Je suppose que c’est la secrétaire du toubib. Elle est vraiment très jolie. J’estime qu’elle doit faire moins de 60 kg pour 1,80 m. Longs cheveux blonds retenus par un ruban bleu. 35 ans tout au plus. Une poitrine comme je les aime, c’est-à-dire généreuse, moulée dans un chemisier léger, un peu trop étroit et pas boutonné jusqu’en haut. Ne rêvons pas, que je me dis. Je suis ici pour voir le doc et pas sa secrétaire. Je m’informe :
— Le docteur a peut-être eu une urgence ? Je peux revenir un autre jour.
Mais l’Apparition a un regard amusé :
— Je suis le docteur Dominique Abart dit-elle. C’est avec moi que vous avez rendez-vous.
Bon ! C’est comme cela, avec ces prénoms dont on ne sait s’ils sont masculin ou féminin. J’ai l’air idiot. Idiot et macho. Je prends le parti de rire et je bafouille une excuse vaseuse qui la fait bien rire.
On passe à l’interrogatoire Nom, prénom, âge, etc. Et tout à coup, elle annonce :
— Il fait très chaud ici, mettez-vous donc à l’aise.
De son côté, elle déboutonne un peu plus son chemisier ce qui me permet de constater qu’elle porte un soutien pigeonnant, tout en dentelle, qui laisse deviner une poitrine bronzée et ferme. J’ai de plus en plus chaud. L’interro se termine. Elle m’invite à me déshabiller.
— Vous pouvez garder votre slip, si vous le voulez.
Un peu que je veux ! D’autant plus que je me sens tout émoustillé et que cela doit se voir dans mon calle-bar. Elle sort son stéthoscope et m’ausculte. Puis elle pose son oreille sur ma poitrine. Pour mieux écouter les battements de mon cœur, dit-elle.
— Votre cœur bat très vite, dit-elle en feignant l’étonnement.
Puis la question :
— Faites-vous souvent l’amour ? Vous masturbez-vous ? Aimez-vous cela ?
Je réponds, un peu gêné, qu’étant célibataire je n’ai pas souvent l’occasion de faire l’amour, mais que je suis un adepte des "plaisirs solitaires". Solitaires mais variés. J’ai l’impression qu’elle fixe de plus en plus mon slip qui est maintenant tout gonflé ! Je transpire, elle transpire.
Et tout d’un coup, elle ajoute :
— Nous allons faire un petit test.
Elle ouvre une porte et je découvre alors une jolie salle de bain. Elle m’invite gentiment mais fermement :
— Enlevez votre slip, installez-vous sous la douche et ne soyez pas gêné. Vous savez, je suis médecin, ajoute-t-elle pour me décider.
J’obéis sans déplaisir Et là, plus moyen de cacher mon émotion. Mon sexe se dresse, dur, tendu. Il me semble que "la" docteur a un regard amusé et satisfait. Elle saisit le pommeau de la douche, règle la pression et la température de l’eau et m’invite, d’une voix qui tremble un peu me semble-t-il :
— Laissez-vous aller, dit-elle. Cela n’est pas douloureux. Si vous le préférez, fermez les yeux et pensez à des choses agréables.
J’obéis avec plaisir. Et doucement, très doucement, elle asperge mes couilles. Puis, avec le jet, elle fait lentement le tour de toute ma verge tendue. Deux fois, cinq fois, dix fois, elle recommence le même mouvement tournant, en essayant de ne pas toucher cette barre rouge et tendue qui frémit en recevant, de temps en temps, quelques gouttes d’eau sur son endroit le plus sensible. Ma respiration s’accélère et je commence à gémir tout doucement. J’ai toujours les yeux fermés et je commence à me croire au paradis. J’entends qu’elle me dit, d’une voix un peu rogue :
— Mais on dirait que vous aimez cela !
Et ce disant, elle approche le jet d’eau, doux et chaud, de mon point le plus sensible, pour finir par aller et venir lentement et régulièrement tout le long de ma verge tendue. Je dois faire un effort pour ne pas crier mon plaisir. Et quand elle fait mine d’éloigner le jet d’eau, je ne peux m’empêcher de murmurer, d’une voix suppliante :
— Non, encore, encore, oh que c’est bon. Continue, continue.
Et elle continue, en prenant soin de ne pas me faire exploser et de me garder au comble de l’excitation Voilà maintenant qu’elle gémit doucement, elle aussi, et murmure :
— Ah ! tu en veux encore, mon petit bonhomme ? Tu aimes cela, n’est-ce pas ?! Tu as de la chance ; moi aussi, j’aime.
À ce moment, j’ouvre les yeux et constate qu’elle a ouvert complètement son chemisier, découvrant toute sa poitrine moulée dans ce soutien affriolant, qui comble d’aise l’amateur de lingerie fine que je suis. Elle laisse choir sa jupe sur le sol, arrache son chemisier et se retrouve en string et soutien. Mon sexe est mouillé et tendu.
— Attends, cela commence seulement, me dit-elle.
Et sans plus attendre, elle envoie un jet de savon liquide et parfumé sur mon pieu et commence à le frictionner, lentement, d’une main douce et ô combien experte. Puis, elle recommence avec le jet de la douche. J’ai de nouveau fermé les yeux et me concentre sur mon plaisir. Je devine alors qu’elle se baisse et embrasse mon sexe. Doucement d’abord. Puis ses baisers sont de plus en plus appuyés. Enfin, elle ouvre la bouche et m’enfourne entre ses lèvres chaudes qui vont et viennent. Je sens que je vais éjaculer. Mais elle le sait, elle le sent. Elle me laisse alors sortir de sa bouche tendre et humide puis reprend sa succion. Elle s’arrête et pendant les quelques secondes qui suivent, j’essaie de reprendre mes esprits. Je lui dis :
— À ton tour, maintenant. Laisse-moi voir si ton cœur tient bon.
Je sors de la douche, la prends dans mes bras et la dépose sur la table d’auscultation. Elle s’abandonne, les yeux fermés. J’enlève son soutien et son string. Il est tout mouillé par sa liqueur ! Je le glisse dans la poche de mon pantalon. M’a-t-elle vu ? Je n’en sais rien. Je m’en servirai demain pour me masturber. J’adore me masturber en ayant en main un slip de femme bien odoriférant.
Elle s’abandonne maintenant sur la table. Je lui pétris les seins, pinçant légèrement ses jolis tétons tout durs. Ma main descend vers le bas de son ventre. Elle est ouverte et mouillée. Une véritable inondation ! Je trouve son clito, gonflé, énorme, tendu. Je le masse doucement et je la sens vibrer de plus en plus. Elle tremble littéralement et gémit, les yeux fermés. Avec mon index, je m’aventure vers son joli trou de cul. Elle laisse s’échapper des cris d’excitation, de plaisir. Puis je mets ma bouche entre ses jambes et je suce, je bois, je m’enivre. Mon visage est trempé. Enfin, elle supplie :
— Viens, entre en moi, défonce-moi, viens, viens, je n’en peux plus.
Elle n’est pas la seule ! Moi aussi, je n’y tiens plus. Je me jette sur elle, glisse mon épée dans son fourreau. Je suis en elle, je vais et je viens, de plus en plus vite. Nous explosons pratiquement en même temps. Longuement. Très longuement. Le plaisir parfait, total.
Nous avons mis plusieurs minutes à récupérer. Il n’a plus été question de poursuivre le check-up. Elle a conclu en disant :
— Je crois que ton cœur est bon. Mais il faudrait refaire l’examen régulièrement. Viens me revoir, nous referons un test plus complet, avec d’autres exercices.
Je lui ai répondu qu’effectivement je voulais être rassuré et que je reviendrais donc très vite pour une nouvelle consultation. Je l’ai quittée en serrant son string dans ma poche. Au moment où je sors, elle me dit en riant :
— Et n’oublie pas de me rapporter mon slip, quand tu reviendras me voir ! Joël
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